Mardi 14 février :
Trajet à pied jusqu’à la gare routière. A mon arrivée, on me change mon billet pour une autre compagnie devant partir plus tôt. Mais en raison d’un problème mécanique et un changement de bus, on part à 9h15. Bus plus inconfortable que ceux de Supra Tours avec une grande majorité de Marocains cette fois.
Paysage devenant de plus en plus intéressant. Route droite, bordée d’arganiers et d’oliviers, devenant plus sinueuse en s’élevant quelque peu avant de redescendre vers le littoral, puis longeant de longues plages pour surfeurs, bordées d’étendues arides et désertes ou seuls quelques bergers font paître leurs moutons.
Arrivée à Agadir après 3h30 de route (sans arrêt pipi). Le bus dépose les passagers qui s’arrêtent à Agadir, en bordure de route. De là, je me rends à pied (15 mn) jusqu’à un arrêt de bus. Je monte dans le 3 et demande au chauffeur de me déposer au plus près de l’hôtel. Encore quelques minutes de marche et arrivée vers 13h30 à l’hôtel Tamri, conseillé par le guide du routard. Pas de Wi Fi, chambre sans charme mais bon marché (70 Dr).
Hôtel fréquenté par de nombreux routards. en attendant qu’on prépare ma chambre, je fais la connaissance de Michel, un Français d’Arcachon, avec qui je passe toute l’après midi à discuter.
On se rend sur le front de mer. Je réalise vite qu’Agadir ne va pas me plaire. Je comprend mal qu’on puisse y rester 2 mois comme c’est le cas de Michel voire y résider à l’année comme c’est le cas de nombreux couples de retraités français
La ville possède une longue plage de 6 km, bordée d'une nouvelle croisette menant à une marina. Plus loin on découvre son important port de pêche et ses chantiers navals.
Diner dans un resto populaire, une des adresses de Michel. Tajine (moyen) à 15 Dr.
Pour en savoir plus sur Agadir, cliquez ICI
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