LARACHE (2)

56èm jour (Mardi 3 juin) : 

Démarrage en douceur et départ de l'hôtel à 10h30. Je remonte la ruelle qui part de l'hôtel et qui mène directement à la mer.

"Il y a deux plages délimitées par une jetée : l'une avec vagues qui s'étend très loin, et l'autre, plus proche du bras de mer, plus calme. La plage, située sur l'autre rive du fleuve Loukous, est accessible soit à pied (300m de la place centrale) avec traversée en barque, soit en voiture ou en bus en contournant le fleuve (4km).  "

J'entre au port de pêche et me dirige vers ce que je crois être l'embarcadère des barques qui permettent d'accéder à la plage. Mais une fois parvenu au bout, on m'informe que les barques se prennent près de l'entrée.

Retour sur mes pas sans regretter d'être venu jusque là.

 

Le port est installé sur la rive gauche de l’Oued Loukous, à environ 750 m de son embouchure. En 1912, l’Etat allemand avait construit une darse qui a servi comme port de commerce et base militaire navale. En 1924 cette darse fut aménagée en construisant 180 ml de quai de pêche pour satisfaire les besoins de la région. Depuis, le port de Larache reste l'un des plus importants ports de pêche au Maroc, le deuxième port de pêche de la région..

Quelques photos donnant une impression de déjà vu évidemment mais toujours sympa à regarder (pêcheurs reprisant les filets, bateaux collés les uns aux autres, casiers aux multiples couleurs....

Avec Larache en toile de fond.

Il est déjà midi quand je monte dans une petit barque qui fait la navette entre les deux rives. (5 Dr par personne / 5 à 10 mn).

Une première petite plage face à la ville et bordée de quelques restaurants installés sous des auvents et une plage immense et malheureusement très sale.

Par contre pas de problème de promiscuité
et il n'est pas nécessaire d'aller loin pour se retrouver tranquille.

J'y reste jusque 16h30 et reviens à l'hôtel vers 17h.

Douche, café et tablette (avec les habituelles problèmes de connexion).

Dîner dans un des restaurants situés sous les arcades de la place de la Libération, le "Solea" qui se démarque par sa décoration sympa et la présence d'un espace pour des concerts. Un lieu plutôt branché où l'on peut même apporter sa bière ou son vin pour accompagner son repas.

Mais côté bouffe, je serais moins enthousiaste, la paella qu'on m'a servi étant très moyenne avec des crevettes pas fraiches (40 Dr). Retour à la maison d'hôtes vers 21h et soirée film dans la chambre, le Coréen étant le seul autre client.