8èm jour (Mercredi 16 avril) :
Ayant refermé la tablette hier à minuit et ayant écouté de la musique durant un bon moment, il est 8h30 quand j'émerge. Une fois n'est pas coutume, le ciel est déjà bien bleu quand je sors prendre un café dans un des deux petits troquets en étage de la place Hassan II.
Je me rends aussitôt à l'Africa, espérant profiter d'une meilleure connexion à cette heure. Il n'en ai rien et je perds près d'une heure à tenter d'ouvrir mes applications. Je suis fumasse car j'aurais bien aimé me tenir au courant des nouvelles, répondre à mes mails et surtout m'occuper un peu de mon blog. Comme je l'ai déjà dit à Joce, vivement l'an 2150 quand toute la planète entière sera équipée de la fibre optique. En attendant, dites vous bien qu'il faut être sacrément motivé pour tenir un blog quand on voyage dans ce type de pays.
Je me rends aussitôt à l'Africa, espérant profiter d'une meilleure connexion à cette heure. Il n'en ai rien et je perds près d'une heure à tenter d'ouvrir mes applications. Je suis fumasse car j'aurais bien aimé me tenir au courant des nouvelles, répondre à mes mails et surtout m'occuper un peu de mon blog. Comme je l'ai déjà dit à Joce, vivement l'an 2150 quand toute la planète entière sera équipée de la fibre optique. En attendant, dites vous bien qu'il faut être sacrément motivé pour tenir un blog quand on voyage dans ce type de pays.
A 10h30, je laisse tomber et retourne déposer mes affaires à l'hôtel avant de me rendre à l'arrêt des taxis collectifs pour Abou Ahmed. Il me faut prendre un petit taxi (7 Dr).
Départ à 11h pour un voyage d'une heure et quinze minutes (70 km /40 Dr). Au bout d'un quart d'heure la route ne cesse de monter et de descendre le long d'une belle côte découpée, entrecoupée de nombreuses plages de sable gris.
Départ à 11h pour un voyage d'une heure et quinze minutes (70 km /40 Dr). Au bout d'un quart d'heure la route ne cesse de monter et de descendre le long d'une belle côte découpée, entrecoupée de nombreuses plages de sable gris.
Une fois arrivé à Abou Ahmed, je commence par aller prendre un thé tout en étudiant la carte. Je décide de poursuivre jusqu'à El Jebha en essayant le stop.
Au bout d'une heure je me retrouve à environ 4 km du village sans que la moindre voiture ne se soit arrêtée. Une balade néanmoins agréable dans la campagne à observer les travaux des champs.
Je décide de revenir sur mes pas en continuant d'essayer d'arrêter les voitures dans les 2 sens. Une fois de retour au village, une camionnette ayant fini par me prendre à l'approche du village, me sauvant ainsi de la honte, il me faut patienter près d'une heure, le temps qu'un taxi veuille bien se remplir.
Le trajet de retour est plus intéressant qu'à l'aller car la luminosité est bien meilleure. L'inconvénient quand on voyage en transports en commun c'est qu'on ne peut s'arrêter selon ses désirs ce qui est regrettable. Je me contente donc d'enregistrer dans ma mémoire les jolis points de vue à défaut de les immortaliser avec mon appareil.
Je décide de revenir sur mes pas en continuant d'essayer d'arrêter les voitures dans les 2 sens. Une fois de retour au village, une camionnette ayant fini par me prendre à l'approche du village, me sauvant ainsi de la honte, il me faut patienter près d'une heure, le temps qu'un taxi veuille bien se remplir.
Le trajet de retour est plus intéressant qu'à l'aller car la luminosité est bien meilleure. L'inconvénient quand on voyage en transports en commun c'est qu'on ne peut s'arrêter selon ses désirs ce qui est regrettable. Je me contente donc d'enregistrer dans ma mémoire les jolis points de vue à défaut de les immortaliser avec mon appareil.
De retour à Tetouan vers 17h, je m'en vais manger une omelette frites au Restinga avant de rentrer à l'hôtel peu avant 18h.
Comme d'hab, je m'installe dans le patio pour raconter ma journée.
Une journée en demi teinte durant laquelle je n'aurai pris qu'une demi douzaine de photos.
Dans la soirée je suis allé faire un tour du côté de la place Moulay Mehdi, joliment illuminée comme un soir de Noël. Ce soir le Barsa recevait le Real. Inutile de préciser que tous les bars étaient archi combles et l'ambiance explosive.
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